Si jamais y’en a un qui doute sur mon tempérament de soumise, je l’invite à bien vouloir regarder la photo que j’envoie. Rien qu’avec ce que j’ai sur moi, je pense pouvoir imposer le respect et faire comprendre que la soumission, chez moi à Genève, je prends ça très au sérieux.
D’ailleurs, ça n’est qu’un avant-propos de ce que je suis capable de subir. Les chaînes que vous voyez, vous pourrez même m’en attacher une au cou pour me faire déambuler comme une chienne. Mais il ne faudra pas s’arrêter là, je vous préviens. Moi, ce que j’aime, c’est varier les souffrances dans un rapport BDSM avec un maître qui a de l’imagination et beaucoup de vigueur à m’imposer.
Vous l’aurez compris à mon dévouement, je n’accepte pas de pseudo-maître qui soit un peu trop hésitant. Un dominateur, un vrai, il s’impose de manière naturelle. Le sadisme ne ment pas. Alors que les concernés me contactent, parce que je souffre de ne pas être torturée !